Où vas-tu, fils de ma douleur, où pars-tu t'égailler dans je ne sais quelle fondrière ? Où vas-tu, fils de mon angoisse, où cours-tu te cacher derrière je ne sais quel massif herbeux ? Et pour surprendre quel voyageur égaré, en brigand de toujours et de jamais ? Où allez-vous, fils de mon anxiété, tendres tendons de mes heures stupéfaites, prêts à perdre tous ceux qui lisent ces lignes sans assurance ?
<< >>
|