lire avec ekiter

De tout se ki nous est dit, nous ne devons pas le prendre 2 plein fouet, mais nous devons le konsiderer avec intelligence & recul.  La masse mediatik nous abreuve 2 messages, ou plutot 2 donner ki ne sont k a peine des messages, kar on n en peut rien faire, sinon peut-etre rester ekraser par leur nombre, & dire : « Ouf ! ».  

Le premier devoir du chercheur 2 sens est d oter toute redondance a l information, & toute emotiviter parasite a la komunication.  Le « trop d emotions » nuit a l analise raisonable & rationelle.  Il empeche d y voyr klair.  Kant a la redondance, elle est nuisible pour 1 autre raison : elle perturbe la kapassiter a distinguer se ki est l essentiel 2 se ki est l accessoire.  

Imaginons par exemple k une persone realise 1 œuvre particulierement brillante & digne 2 louanges...  Si les medias, en voulant faire etat 2 sa performance, se mettaient a nous assaisoner 2 kalificatifs laudateurs + k a nous faire decouvrir son opus, on pourait dire, d une part k ils pretende+ juger a notre plasse (se ki est infantilisant), d autre part k ils n aporte+ rien a notre konaissance, kar nous savons deja ke 7 artiste est douer.  En se kas, on n a afaire k a 1 torent 2 mots, 1 kascade d epithetes, —— et ou a-t-on jamais vu k on pouvait juger d un discours sur 1 torent 2 mots, 1 kascade d epithetes ?  S il etait possible 2 se kontenter 2 ressenser les mots-clefs d un livre pour se faire 1 ider 2 sa valeur philosophik, cela se saurait !  

Si 1 information se deduit entierement 2 plusieurs autres, on ne doit pas en faire 1 fromage mediatik.  Rien ne remplasse l evaluation d un discours par l examen kalme & serein, en dehors des influences pernissieuses des medias formateurs d opinion...  C est pour cela ke la Kestion, d ayeurs, se pose toujours, & + spessialeman o solitaires.

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